Je me promenais tranquillement dans les quartiers pauvres, à la recherche de quelque chose à faire, un riche à voler bien qu'il n'y en a pas de ce quartier, un employeur qui cherche une personne pour un travail quelque conque, bref tout et n'importe quoi qui pourrait m'occuper et me faire rapporter de l'argent, honnêtement ou malhonnêtement, pour manger ce soir. J'étais dans une petite ruelle quand je vis passer un groupe de soldat, certainement la milice, qui allait surement dépouiller des pauvres gens comme à leurs habitudes. Je rabattais le capuchon de ma cape et je commençais à suivre ce groupe de soldat malhonnête. Après quelque minutes de filature, les soldats avaient trouvé leur victime, ils s'arrêtèrent devant un taudis et entrèrent à l'intérieur. Le groupe de soldat était composé de quatre homme portant à leur ceinture une épée longue. Deux soldats jetèrent la malheureuse femme qui semblait vivre dans ce misérable bâtiment, elle était par terre,dans la boue, pendant que les trois autres fouillaient sa maison (si on peut appeler ça une maison) en cassant le peu de chose qu'avait cette femme. Ils finirent par trouver un misérable bracelet en argent, deux soldats attrapaient la femme et la maintenait pendant que le soldat qui devait être le chef du groupe lui poser des questions comme "où a tu trouvé ça ?" et elle répondit :
-Je l'ai trouvé par terre.
-Menteuse, tu l'as volé.
-Non ! Je vous jure que je n'ai rien fait.
-Tu sais ce qu'on fait au voleuse de ton espèce, on les pend mais je pense pas que beaucoup de gens viendront te voir crever alors on va s'en charger maintenant.
-Vous n'avez pas le droit de faire ça !
Je n'avais fais qu'observer ces soldats mais ils allaient trop loin, je décidais donc de m'en mêler. Je ramassais un caillou que je lançais sur la tête du chef qui avait dégainé son épée pour tuer la mendiante. Les soldats me regardèrent et je leur dis :
-Vous avez pas honte de vous en prendre à cette pauvre femme, venez donc vous mesurer à moi.
Les soldats lâchèrent la femme et commencèrent à me charger. Ils étaient cinq contre moi, je décidais donc de courir pour essayer de les semer et de me battre en un contre un. Je prenais des petites ruelles où le groupe avait du mal à me suivre, ils finirent par se séparer comme je voulais, l'un voulu me barrer la route par devant en prenant une autre ruelle, je pris donc la ruelle de droite pour l'évitai. J'avais distancé les soldats, j'en profité pour monter sur un toit et attaquer celui qui était tout seul. Je le retrouvai facilement, il semblait être perdu dans ces petites ruelles sombres et sales. Je descendis de mon perchoir et l'attaqua par derrière en le poignardant dans le dos. Il tomba à terre, mort, je couru pour sortir de ces ruelles quand je vis quelqu'un au bout mais je ne voyais pas vraiment qui c'était à cause du soleil, étais-ce un soldat, un ami de la guilde ou bien un simple passant ?
-Je l'ai trouvé par terre.
-Menteuse, tu l'as volé.
-Non ! Je vous jure que je n'ai rien fait.
-Tu sais ce qu'on fait au voleuse de ton espèce, on les pend mais je pense pas que beaucoup de gens viendront te voir crever alors on va s'en charger maintenant.
-Vous n'avez pas le droit de faire ça !
Je n'avais fais qu'observer ces soldats mais ils allaient trop loin, je décidais donc de m'en mêler. Je ramassais un caillou que je lançais sur la tête du chef qui avait dégainé son épée pour tuer la mendiante. Les soldats me regardèrent et je leur dis :
-Vous avez pas honte de vous en prendre à cette pauvre femme, venez donc vous mesurer à moi.
Les soldats lâchèrent la femme et commencèrent à me charger. Ils étaient cinq contre moi, je décidais donc de courir pour essayer de les semer et de me battre en un contre un. Je prenais des petites ruelles où le groupe avait du mal à me suivre, ils finirent par se séparer comme je voulais, l'un voulu me barrer la route par devant en prenant une autre ruelle, je pris donc la ruelle de droite pour l'évitai. J'avais distancé les soldats, j'en profité pour monter sur un toit et attaquer celui qui était tout seul. Je le retrouvai facilement, il semblait être perdu dans ces petites ruelles sombres et sales. Je descendis de mon perchoir et l'attaqua par derrière en le poignardant dans le dos. Il tomba à terre, mort, je couru pour sortir de ces ruelles quand je vis quelqu'un au bout mais je ne voyais pas vraiment qui c'était à cause du soleil, étais-ce un soldat, un ami de la guilde ou bien un simple passant ?
Dernière édition par Makoto le Mar 8 Sep - 20:44, édité 1 fois