par ~Début~
Les apprentis-pirates avaient couru pendant quelques minutes, puis ne voyant plus personne derrière eux, ils avaient ralenti jusqu'à se mettre à marcher.
Mais si ils ne voyaient plus personne, ce n'est pas par ce que Kalahar avait lâché l'affaire, chose qu'il fait rarement, mais simplement qu'ils auraient du lever la tête au lieu de la retourner. En effet, l'assassin courrait sur ces toits qu'ils connaissait si bien, ces toits qui l'avaient accueilli pendant toute son enfance.
Les hommes se dirigeaient vers le quartiers bourgeois...cela semblait bizarre, mais c'était le cas.
Ils s'arrêtèrent quelques minutes dans une taverne puis reprirent leur route.
La nuit tomba pendant que les deux hommes se baladaient dans les quartiers pavillonnaires. Kalahar n'aimait pas cet endroit, car de toute part déambulaient des soldats de la garde. Il ne les craignait pas, car beaucoup se trouvaient être de piètre guerrier, mais leur nombre était aussi une force.
Le jeune observait attentivement ses proies. Il aurait pu les tuer à tout moment, mais le fait qu'ils soient dans cette partie de la ville l'intriguait. A un instant, l'un des deux hommes murmura quelques mots à son compères, puis d'un commun accord ils se dirigèrent vers une maison bourgeoise comme il en pullule dans ce quartier.
Ils entrèrent dans la petite cour, puis saluèrent deux gardes, qui tendus les laissèrent entrer dans la demeure. Il était rare que des maisons de ce genre soit gardé, car l'omniprésence de la garde Askantoise suffisait a effrayer les voleurs et les escrocs en tout genre.
Kalahar sauta sur un toit proche de la grande battisse dans laquelle les hommes étaient rentré. Il se dissimula derrière une cheminé afin d'inspecter la maison. Deux gardes se trouvaient devant la porte de devant, il ne semblait pas y avoir de porte arrière, car la maison donnait sur le jardin d'un autre demeure. Impossible donc de rentrer par derrière, et par devant cela aurait été possible, mais le raffut aurait sans aucun doute rameuté deux ou trois patrouilles.
Les apprentis-pirates avaient couru pendant quelques minutes, puis ne voyant plus personne derrière eux, ils avaient ralenti jusqu'à se mettre à marcher.
Mais si ils ne voyaient plus personne, ce n'est pas par ce que Kalahar avait lâché l'affaire, chose qu'il fait rarement, mais simplement qu'ils auraient du lever la tête au lieu de la retourner. En effet, l'assassin courrait sur ces toits qu'ils connaissait si bien, ces toits qui l'avaient accueilli pendant toute son enfance.
Les hommes se dirigeaient vers le quartiers bourgeois...cela semblait bizarre, mais c'était le cas.
Ils s'arrêtèrent quelques minutes dans une taverne puis reprirent leur route.
La nuit tomba pendant que les deux hommes se baladaient dans les quartiers pavillonnaires. Kalahar n'aimait pas cet endroit, car de toute part déambulaient des soldats de la garde. Il ne les craignait pas, car beaucoup se trouvaient être de piètre guerrier, mais leur nombre était aussi une force.
Le jeune observait attentivement ses proies. Il aurait pu les tuer à tout moment, mais le fait qu'ils soient dans cette partie de la ville l'intriguait. A un instant, l'un des deux hommes murmura quelques mots à son compères, puis d'un commun accord ils se dirigèrent vers une maison bourgeoise comme il en pullule dans ce quartier.
Ils entrèrent dans la petite cour, puis saluèrent deux gardes, qui tendus les laissèrent entrer dans la demeure. Il était rare que des maisons de ce genre soit gardé, car l'omniprésence de la garde Askantoise suffisait a effrayer les voleurs et les escrocs en tout genre.
Kalahar sauta sur un toit proche de la grande battisse dans laquelle les hommes étaient rentré. Il se dissimula derrière une cheminé afin d'inspecter la maison. Deux gardes se trouvaient devant la porte de devant, il ne semblait pas y avoir de porte arrière, car la maison donnait sur le jardin d'un autre demeure. Impossible donc de rentrer par derrière, et par devant cela aurait été possible, mais le raffut aurait sans aucun doute rameuté deux ou trois patrouilles.
