par Baarl Mar 8 Sep - 19:12Prénom: Baarl
Âge: 19 ans
Métier: Mercenaire, assassin… Du moment que l’on tue quelqu’un…
Guilde: Aucune. Il préfère ne pas s’ennuyer avec des questions de loyauté et finir pourchassé ne l’intéresse pas vraiment.
Description physique: Baarl est grand et très musclé, ce qui est normal avec une vie tournant autour du combat, et surtout son ascendance… Et oui Baarl est un Darak.
De ce fait il possède des yeux très clair, en accord avec ses cheveux d’un blond presque pâle, cheveux qui lui descendent jusqu’aux épaules.
Néanmoins, ses cheveux ne lui empêche pas de voir normalement, ni aux autres de voir son regard, un regard dur, tout comme son esprit.
Le front haut, les sourcils fin, des cernes toujours présentes comme si cet homme faisait régulièrement des nuits blanches, des pommettes saillantes, des joues plutôt creuse et une bouche fine font de lui un bel homme.
De plus cet personne à une présence indéniable. Sans avoir l’aura des grands chefs, et de loin, Baarl est quand même imposant. Malgré ses habits de noble mondain, on lui tient rarement tête, sans doutes à cause d'une certaine agressivité qui semble émaner de lui…
Rassurez vous, lorsqu’il part en mission Baarl s’équipe en conséquence.
Description morale: Etant un Darak, Baarl est plutôt amoral… Ce qui lui a valu des ennuis, mais nous en reparlerons.
Baarl n’a aucun problème avec sa conscience, pour lui tuer est normal. A vrai dire, c’est même plus que cela. Pour lui, la vie, c’est la mort. La mort des autres…
Ses pulsions meurtrières mise de côté, Baarl n’est pas un mauvais bougre. Plutôt intelligent, il est malin, retors, sadique (à la manière d’un chat jouant avec une souris…). Il aime les belles choses, un beau coucher de soleil le ravira (surtout si celui ci est rouge), et les choses simples, comme le sang de son prochain sur son arme.
Baarl aime être en bonne compagnie, même si la solitude lui va très bien.
Mais ne vous en faites pas, Baarl focalise sa soif de sang sur ses contrats, ainsi si vous n’êtes pas sa cible, vous n’avez pas à craindre de vous retrouver mort. Evitez tout de même de l’énerver, il est du genre à partir au quart de tour, et pour lui le meilleur moyen de régler des ennuis implique toujours du sang. Beaucoup de sang…
Sinon à part ça, il est très impressionné par les sciences et les techniques. L’arbalète l’a toujours impressionné, ainsi que tout les moyens de mettre la mécanique au service de la mort… Il a même bricolé un ou deux trucs…
Mais Baarl aime les belles choses, il est un artiste dans l’âme. Même si aucun tableau ne vaudra une scène de combat, il aime son nouveau foyer et sa décoration fastueuse, ainsi que le train de vie qu’il implique…
Histoire: Baarl est né de parents Darak qui se cachaient parmi un village d’humains, situé dans le sud de l’Arnor, mais leurs différences sautaient aux yeux (c’est le cas de le dire). Son père possédaient des cheveux rouges et avaient naturellement des yeux de la même couleur, pour sa mère, les cheveux étaient d’un brun faisant penser aux feuilles mortes. Cette différence ne passait pas inaperçu et leur valu de finir à la potence, soit disant qu’ils auraient tué une personne dans leur village, et condamnés sans preuves contre eux ! Les différences font peur, et pour une fois, ces villageois avaient raison…
Quoi qu’il en soit Baarl fut orphelin à l’âge de quatre ans et fut recueilli par le village qui se sentait quand même responsable. Cela ne les empêcha pas de faire de son enfance un calvaire, le frappant, le rabrouant, l’exploitant pour divers travaux et lui rappelant que ses parents étaient des criminels, avant qu’il ne finisse par le devenir lui même…
Durant cette période il avait eu le temps de développer une haine à l’égard du genre humain. Cela s’ajoutant à ses origines, il tua son premier homme à l’âge de quinze ans. (Oui, Baarl est quelqu’un de très patient)
Evidemment, il fut obligé de déménager en hâte pour ne pas se balancer à la branche d’un arbre.
Son acte ne le choqua pas du tout. Au contraire… Il en éprouva du plaisir. Mais pour lui, cela provenait de sa haine. Il ne connaissait pas sa vrai nature…
Il ne sut que faire après cela. Si il s’arrêtait simplement au village le plus proche, il serait retrouvé. Il partit donc vers le Sud et les plaines, vivant de rapines, marchant ainsi plusieurs jours, jusqu’à arriver à une plus grande ville, se nommant Cydias.
Il resta là de longs mois, et en profita pour aborder le monde. Le village dont il était originaire était assez perdu, du fait de sa position dans les montagnes.
Il fut recueilli par des hommes de foi vénérant une sorte de grand lézard (un dragon apprit-il très vite) et fut chassé lorsqu’il fut surpris entrain de voler un de leurs emblèmes (une petite statue en or massif au goût douteux censé représenter un de ces dragons). Néanmoins, il mit à profit ces quelques mois pour en apprendre un maximum. Ce fut la première fois qu’il entendit parler des Daraks, et inévitablement de l’armée. Il ne fit néanmoins pas le rapport entre les daraks et lui (peux sont les gens à savoir quelles sont les différences permettant de reconnaître un Darak).
Après son départ involontaire, Baarl décida d’intégrer l’armée. Quoi de mieux que d’être payé pour se battre ?
Il fut bien évidemment accepté et commença à s’entrainer avec les autres jeunes recrus. Il avait alors seize ans depuis quelques mois.
Il ne se fit aucun ami lors de son séjour dans les rangs militaire. Il était bien trop bon pour être aimé… Il se rendit compte dès le début à quel point il était supérieur aux autres : plus fort, plus rapide, plus souple, plus endurant, plus résistant à la douleur. Il mit cela sur le compte de son enfance difficile… Il ne put néanmoins s’expliquer sa rapidité d’apprentissage dans le maniement des armes. Toutes les semaines, voir moins, il changeait d’arme. Il aurait battu n’importe quel soldat de sa garnison, à l’exceptions des élites, l’expérience ne remplace pas l’aisance.
Les autres, eux ne voulait pas le comprendre, et tentait de lui faire vivre un calvaire. Ils finirent par y arriver au bout de quelques semaines, mais Baarl tiens bon ainsi deux mois, avant de commettre l’irréparable. Il alla voir le meneur et le tua.
Cela ne plut pas aux supérieurs qui décidèrent de le condamner pour l’exemple. Baarl se sauva avant d’être capturer, faisant quelques blessés dans sa fuite.
Sa haine des humains refit surface, ainsi que le goût du sang... Il avait désormais le sentiment d’être différent. Il voulait savoir, il commençait à douter de lui, à se demander s’il était bien humain et pas un monstre.
Il sut plus tard qu’il était Darak; et il en fut heureux…
Il comprit cela grâce à un semblable qu’il rencontra un jour par hasard.
Une longue discussion fort inintéressante s’ensuivie, où son semblable lui parla du métier de mercenaire et lui glissa un ou deux mots à propos des assassins (métier qu’il confessa pratiquer).
Baarl trouva sa voix ce jour là. De plus, son bref séjour dans l’armée avait renforcé ses talents physiques et sa coordination. Il décida de devenir mercenaire le jour où il aurait dix-sept ans, il lui fallait donc attendre encore quelques mois. Ces mois seraient mis à contribution à parfaire son entrainement avec son homologue, qui avait gentiment proposé de le prendre sous son aile.
Les mois passèrent, Baarl devint encore meilleur et son nouvel ami (un des seuls) lui acheta un équipement digne de ce nom. En échange de passer une année avec lui à l’aider dans ses contrats, sans rémunération et en prenant le plus gros des risques. Baarl accepta, plus pour pouvoir rester à ses côtés et finir son apprentissage que par réel nécessitée.
Ainsi commença sa vrai vie. Il fut vraiment heureux durant cette année, mais toute chose ayant une fin, sa dix-huitième année arriva, et Baarl décida alors de voler de ses propres ailes, maintenant qu’il connaissait bien le métier.
Il souhaita bonne chance à son ami, ainsi que de nombreux contrats et partit de son côté, direction Askant. Son mentor lui avait donné quelques lieux pour trouver du travail, et le plus proche filon se trouvait à Askant. Baarl était pressé d’effectuer son premier contrat en solitaire…
Il obtint son premier contrat deux bonnes semaines après, engloutissant ses économies dans des frais de taverne (c’est que ça coûte cher de dormir), avant de partir à l’aventure.
Une bonne année passa ainsi, entre taverne et voyage, mais Baarl commença à se faire connaître jusqu’à ce qu’il obtienne un contrat un peu spécial, du fait surtout de sa provenance…
Le marquis d’Askant, dont la vie touchait à sa fin comme on l’entendait un peu partout, le priait de venir le voir chez lui, le lendemain, au milieu de la nuit, dans son bureau et surtout sans que personne ne le remarque.
Il sourit devant le défi et l’accepta, sentant une affaire en or. Il se prépara durant le temps qu’il lui restait et s’infiltra dans la villa, sans être vu bien évidemment, le marquis ayant tout de même fournit un plan.
Baarl pénétra dans le bureau et regarda l’homme assis dans son fauteuil derrière son bureau. Effectivement, cet homme approchait de sa fin, on le lisait dans ses yeux, dans son corps fatigué. Mais il lui restait de l’énergie pour partir dans de bonnes dispositions.
Il fit signe à Baarl de s’asseoir et lui dit d’attendre les autres. Baarl resta quelque peu perplexe et fut vraiment surpris en voyant apparaître peu après une, puis deux, puis trois autres personnes. Visiblement tous des assassins de profession. L’ambiance était tendu, tous suspectant qu’ils devraient travailler ensemble et pire, sans doute partager les gains !
Mais le marquis les rassura, leur rappela la nécessité du secret et donna à Baarl une liste de nom. Baarl ne put que s’étrangler devant la liste. Elle devait contenir facilement une trentaine de noms…
Le marquis précisa que Baarl dirigerai les opérations, étant arrivé le premier et aussi qu’il était
désormais temps de partir ou bien il appellerait les gardes…
Baarl se mit au travail avec ses collègues et raya tous les noms de la liste en un temps record d’un mois, deux semaines et trois jours. Certaines personnes étaient très loin d’Askant…
Il alla alors réclamer son dû, avec ses confrères et empocha une coquète somme, mettant fin à ses problèmes financiers pour quelques temps.
Les autres assassins repartirent ravi, mais Baarl resta, observant attentivement le vieil homme. Il était encore plus proche de la mort que le mois précédent, mais Baarl s’en moquait. Il demanda s’il y avait encore du travail pour lui. C’est alors que la vie de Baarl bascula, en même temps que la porte du bureau s’ouvrit. La fille du marquis faisait irruption dans la pièce...
Shylphae de Sthaldharr…
Une fille délicieuse, qui devait avoir à peu près son âge. Néanmoins, Baarl remarqua que rien n’échappait à son regard féroce, malgré le fait qu’elle semblait ne pas le voir et il sentit qu’elle ne l’oublierai pas… Il était en présence d’une personne dangereuse… Peut être plus que le père qui avait ordonné la mort de plus de trente personne… Cette femme ferait couler du sang… Elle plut immédiatement à Baarl.
Le marquis cachait bien sa fureur d’être ainsi dérangé, mais ses gestes étaient devenu légérement plus vifs, alertant ainsi l’œil exercé de Baarl, qui décida d’adopter profil bas, en se retirant dans un coin de la pièce.
La fille du marquis était présente pour faire valoir une requête, suite à une missive du roi. Celle ci la conviant à la cour d’Askant, avec les honneurs du à son rang et tout le blabla. Baarl profita de la reprise de souffle de la future pour marquise pour se faire entendre. Il fit comprendre au marquis qu’en cas de besoin, celui ci saurait où le contacter, et s’en fut, sans plus de cérémonie.
Le marquis décéda quelques jours plus tard, n’ayant manifestement plus rien le raccrochant à la vie, il était parti l’esprit tranquille.
Baarl fut néanmoins recontacté un peu plus tard par la marquise… Et ainsi commença le début de sa richesse…
Après plusieurs contrats réalisés avec succès, la marquise l’invita à loger dans son manoir, officiellement comme personnalité importante (noble, homme d’esprit et inventeur), officieusement pour se garder le monopôle de ses excellents services… Cela lui convient très bien…
Et le voici logeant dans un manoir, en compagnie d’une marquise, lui, le fils de criminels pendus… Il pratique néanmoins un métier dangereux et devra prendre garde de ne pas subir le même sort…
Malgré tout, son histoire ne fait que commencer…
Equipement : Baarl possède trop d’armes pour qu’elles soient toutes répertoriées, et son employeuse ayant les moyens, il ne se prive pas de compléter son équipement. Pour faire simple, disons qu’il possède de quoi remplir des missions diverses et variées, allant de l’assassinat à une escarmouche. Il ne va pas néanmoins jusqu’à porter le harnois, son style de combat est bien trop rapide pour lui permettre de porter une telle chose, et puis une bataille rangée n’a aucun intérêt pour lui.
Magie: Aucune. Pour le moment… A force de tuer des gens, il finira surement par en avoir…
Projets rpg: Tuer, évidemment !
Que pensez-vous du forum? Des changements qu'on pourrait apporter? (C'est pour un
sondage xD)
Le seul truc que je trouve stupide, pour dire franc, est le coup de la feuille au fer rouge dans la main des membres de l’Amarante. Et ils sont censé passer inaperçu comment ?
Sinon design super. Et le background est sympa.
Comment avez-vous connu le forum? Disons que j’ai de bonnes connaissances ici
Âge: 19 ans
Métier: Mercenaire, assassin… Du moment que l’on tue quelqu’un…
Guilde: Aucune. Il préfère ne pas s’ennuyer avec des questions de loyauté et finir pourchassé ne l’intéresse pas vraiment.
Description physique: Baarl est grand et très musclé, ce qui est normal avec une vie tournant autour du combat, et surtout son ascendance… Et oui Baarl est un Darak.
De ce fait il possède des yeux très clair, en accord avec ses cheveux d’un blond presque pâle, cheveux qui lui descendent jusqu’aux épaules.
Néanmoins, ses cheveux ne lui empêche pas de voir normalement, ni aux autres de voir son regard, un regard dur, tout comme son esprit.
Le front haut, les sourcils fin, des cernes toujours présentes comme si cet homme faisait régulièrement des nuits blanches, des pommettes saillantes, des joues plutôt creuse et une bouche fine font de lui un bel homme.
De plus cet personne à une présence indéniable. Sans avoir l’aura des grands chefs, et de loin, Baarl est quand même imposant. Malgré ses habits de noble mondain, on lui tient rarement tête, sans doutes à cause d'une certaine agressivité qui semble émaner de lui…
Rassurez vous, lorsqu’il part en mission Baarl s’équipe en conséquence.
Description morale: Etant un Darak, Baarl est plutôt amoral… Ce qui lui a valu des ennuis, mais nous en reparlerons.
Baarl n’a aucun problème avec sa conscience, pour lui tuer est normal. A vrai dire, c’est même plus que cela. Pour lui, la vie, c’est la mort. La mort des autres…
Ses pulsions meurtrières mise de côté, Baarl n’est pas un mauvais bougre. Plutôt intelligent, il est malin, retors, sadique (à la manière d’un chat jouant avec une souris…). Il aime les belles choses, un beau coucher de soleil le ravira (surtout si celui ci est rouge), et les choses simples, comme le sang de son prochain sur son arme.
Baarl aime être en bonne compagnie, même si la solitude lui va très bien.
Mais ne vous en faites pas, Baarl focalise sa soif de sang sur ses contrats, ainsi si vous n’êtes pas sa cible, vous n’avez pas à craindre de vous retrouver mort. Evitez tout de même de l’énerver, il est du genre à partir au quart de tour, et pour lui le meilleur moyen de régler des ennuis implique toujours du sang. Beaucoup de sang…
Sinon à part ça, il est très impressionné par les sciences et les techniques. L’arbalète l’a toujours impressionné, ainsi que tout les moyens de mettre la mécanique au service de la mort… Il a même bricolé un ou deux trucs…
Mais Baarl aime les belles choses, il est un artiste dans l’âme. Même si aucun tableau ne vaudra une scène de combat, il aime son nouveau foyer et sa décoration fastueuse, ainsi que le train de vie qu’il implique…
Histoire: Baarl est né de parents Darak qui se cachaient parmi un village d’humains, situé dans le sud de l’Arnor, mais leurs différences sautaient aux yeux (c’est le cas de le dire). Son père possédaient des cheveux rouges et avaient naturellement des yeux de la même couleur, pour sa mère, les cheveux étaient d’un brun faisant penser aux feuilles mortes. Cette différence ne passait pas inaperçu et leur valu de finir à la potence, soit disant qu’ils auraient tué une personne dans leur village, et condamnés sans preuves contre eux ! Les différences font peur, et pour une fois, ces villageois avaient raison…
Quoi qu’il en soit Baarl fut orphelin à l’âge de quatre ans et fut recueilli par le village qui se sentait quand même responsable. Cela ne les empêcha pas de faire de son enfance un calvaire, le frappant, le rabrouant, l’exploitant pour divers travaux et lui rappelant que ses parents étaient des criminels, avant qu’il ne finisse par le devenir lui même…
Durant cette période il avait eu le temps de développer une haine à l’égard du genre humain. Cela s’ajoutant à ses origines, il tua son premier homme à l’âge de quinze ans. (Oui, Baarl est quelqu’un de très patient)
Evidemment, il fut obligé de déménager en hâte pour ne pas se balancer à la branche d’un arbre.
Son acte ne le choqua pas du tout. Au contraire… Il en éprouva du plaisir. Mais pour lui, cela provenait de sa haine. Il ne connaissait pas sa vrai nature…
Il ne sut que faire après cela. Si il s’arrêtait simplement au village le plus proche, il serait retrouvé. Il partit donc vers le Sud et les plaines, vivant de rapines, marchant ainsi plusieurs jours, jusqu’à arriver à une plus grande ville, se nommant Cydias.
Il resta là de longs mois, et en profita pour aborder le monde. Le village dont il était originaire était assez perdu, du fait de sa position dans les montagnes.
Il fut recueilli par des hommes de foi vénérant une sorte de grand lézard (un dragon apprit-il très vite) et fut chassé lorsqu’il fut surpris entrain de voler un de leurs emblèmes (une petite statue en or massif au goût douteux censé représenter un de ces dragons). Néanmoins, il mit à profit ces quelques mois pour en apprendre un maximum. Ce fut la première fois qu’il entendit parler des Daraks, et inévitablement de l’armée. Il ne fit néanmoins pas le rapport entre les daraks et lui (peux sont les gens à savoir quelles sont les différences permettant de reconnaître un Darak).
Après son départ involontaire, Baarl décida d’intégrer l’armée. Quoi de mieux que d’être payé pour se battre ?
Il fut bien évidemment accepté et commença à s’entrainer avec les autres jeunes recrus. Il avait alors seize ans depuis quelques mois.
Il ne se fit aucun ami lors de son séjour dans les rangs militaire. Il était bien trop bon pour être aimé… Il se rendit compte dès le début à quel point il était supérieur aux autres : plus fort, plus rapide, plus souple, plus endurant, plus résistant à la douleur. Il mit cela sur le compte de son enfance difficile… Il ne put néanmoins s’expliquer sa rapidité d’apprentissage dans le maniement des armes. Toutes les semaines, voir moins, il changeait d’arme. Il aurait battu n’importe quel soldat de sa garnison, à l’exceptions des élites, l’expérience ne remplace pas l’aisance.
Les autres, eux ne voulait pas le comprendre, et tentait de lui faire vivre un calvaire. Ils finirent par y arriver au bout de quelques semaines, mais Baarl tiens bon ainsi deux mois, avant de commettre l’irréparable. Il alla voir le meneur et le tua.
Cela ne plut pas aux supérieurs qui décidèrent de le condamner pour l’exemple. Baarl se sauva avant d’être capturer, faisant quelques blessés dans sa fuite.
Sa haine des humains refit surface, ainsi que le goût du sang... Il avait désormais le sentiment d’être différent. Il voulait savoir, il commençait à douter de lui, à se demander s’il était bien humain et pas un monstre.
Il sut plus tard qu’il était Darak; et il en fut heureux…
Il comprit cela grâce à un semblable qu’il rencontra un jour par hasard.
Une longue discussion fort inintéressante s’ensuivie, où son semblable lui parla du métier de mercenaire et lui glissa un ou deux mots à propos des assassins (métier qu’il confessa pratiquer).
Baarl trouva sa voix ce jour là. De plus, son bref séjour dans l’armée avait renforcé ses talents physiques et sa coordination. Il décida de devenir mercenaire le jour où il aurait dix-sept ans, il lui fallait donc attendre encore quelques mois. Ces mois seraient mis à contribution à parfaire son entrainement avec son homologue, qui avait gentiment proposé de le prendre sous son aile.
Les mois passèrent, Baarl devint encore meilleur et son nouvel ami (un des seuls) lui acheta un équipement digne de ce nom. En échange de passer une année avec lui à l’aider dans ses contrats, sans rémunération et en prenant le plus gros des risques. Baarl accepta, plus pour pouvoir rester à ses côtés et finir son apprentissage que par réel nécessitée.
Ainsi commença sa vrai vie. Il fut vraiment heureux durant cette année, mais toute chose ayant une fin, sa dix-huitième année arriva, et Baarl décida alors de voler de ses propres ailes, maintenant qu’il connaissait bien le métier.
Il souhaita bonne chance à son ami, ainsi que de nombreux contrats et partit de son côté, direction Askant. Son mentor lui avait donné quelques lieux pour trouver du travail, et le plus proche filon se trouvait à Askant. Baarl était pressé d’effectuer son premier contrat en solitaire…
Il obtint son premier contrat deux bonnes semaines après, engloutissant ses économies dans des frais de taverne (c’est que ça coûte cher de dormir), avant de partir à l’aventure.
Une bonne année passa ainsi, entre taverne et voyage, mais Baarl commença à se faire connaître jusqu’à ce qu’il obtienne un contrat un peu spécial, du fait surtout de sa provenance…
Le marquis d’Askant, dont la vie touchait à sa fin comme on l’entendait un peu partout, le priait de venir le voir chez lui, le lendemain, au milieu de la nuit, dans son bureau et surtout sans que personne ne le remarque.
Il sourit devant le défi et l’accepta, sentant une affaire en or. Il se prépara durant le temps qu’il lui restait et s’infiltra dans la villa, sans être vu bien évidemment, le marquis ayant tout de même fournit un plan.
Baarl pénétra dans le bureau et regarda l’homme assis dans son fauteuil derrière son bureau. Effectivement, cet homme approchait de sa fin, on le lisait dans ses yeux, dans son corps fatigué. Mais il lui restait de l’énergie pour partir dans de bonnes dispositions.
Il fit signe à Baarl de s’asseoir et lui dit d’attendre les autres. Baarl resta quelque peu perplexe et fut vraiment surpris en voyant apparaître peu après une, puis deux, puis trois autres personnes. Visiblement tous des assassins de profession. L’ambiance était tendu, tous suspectant qu’ils devraient travailler ensemble et pire, sans doute partager les gains !
Mais le marquis les rassura, leur rappela la nécessité du secret et donna à Baarl une liste de nom. Baarl ne put que s’étrangler devant la liste. Elle devait contenir facilement une trentaine de noms…
Le marquis précisa que Baarl dirigerai les opérations, étant arrivé le premier et aussi qu’il était
désormais temps de partir ou bien il appellerait les gardes…
Baarl se mit au travail avec ses collègues et raya tous les noms de la liste en un temps record d’un mois, deux semaines et trois jours. Certaines personnes étaient très loin d’Askant…
Il alla alors réclamer son dû, avec ses confrères et empocha une coquète somme, mettant fin à ses problèmes financiers pour quelques temps.
Les autres assassins repartirent ravi, mais Baarl resta, observant attentivement le vieil homme. Il était encore plus proche de la mort que le mois précédent, mais Baarl s’en moquait. Il demanda s’il y avait encore du travail pour lui. C’est alors que la vie de Baarl bascula, en même temps que la porte du bureau s’ouvrit. La fille du marquis faisait irruption dans la pièce...
Shylphae de Sthaldharr…
Une fille délicieuse, qui devait avoir à peu près son âge. Néanmoins, Baarl remarqua que rien n’échappait à son regard féroce, malgré le fait qu’elle semblait ne pas le voir et il sentit qu’elle ne l’oublierai pas… Il était en présence d’une personne dangereuse… Peut être plus que le père qui avait ordonné la mort de plus de trente personne… Cette femme ferait couler du sang… Elle plut immédiatement à Baarl.
Le marquis cachait bien sa fureur d’être ainsi dérangé, mais ses gestes étaient devenu légérement plus vifs, alertant ainsi l’œil exercé de Baarl, qui décida d’adopter profil bas, en se retirant dans un coin de la pièce.
La fille du marquis était présente pour faire valoir une requête, suite à une missive du roi. Celle ci la conviant à la cour d’Askant, avec les honneurs du à son rang et tout le blabla. Baarl profita de la reprise de souffle de la future pour marquise pour se faire entendre. Il fit comprendre au marquis qu’en cas de besoin, celui ci saurait où le contacter, et s’en fut, sans plus de cérémonie.
Le marquis décéda quelques jours plus tard, n’ayant manifestement plus rien le raccrochant à la vie, il était parti l’esprit tranquille.
Baarl fut néanmoins recontacté un peu plus tard par la marquise… Et ainsi commença le début de sa richesse…
Après plusieurs contrats réalisés avec succès, la marquise l’invita à loger dans son manoir, officiellement comme personnalité importante (noble, homme d’esprit et inventeur), officieusement pour se garder le monopôle de ses excellents services… Cela lui convient très bien…
Et le voici logeant dans un manoir, en compagnie d’une marquise, lui, le fils de criminels pendus… Il pratique néanmoins un métier dangereux et devra prendre garde de ne pas subir le même sort…
Malgré tout, son histoire ne fait que commencer…
Equipement : Baarl possède trop d’armes pour qu’elles soient toutes répertoriées, et son employeuse ayant les moyens, il ne se prive pas de compléter son équipement. Pour faire simple, disons qu’il possède de quoi remplir des missions diverses et variées, allant de l’assassinat à une escarmouche. Il ne va pas néanmoins jusqu’à porter le harnois, son style de combat est bien trop rapide pour lui permettre de porter une telle chose, et puis une bataille rangée n’a aucun intérêt pour lui.
Magie: Aucune. Pour le moment… A force de tuer des gens, il finira surement par en avoir…
Projets rpg: Tuer, évidemment !
Que pensez-vous du forum? Des changements qu'on pourrait apporter? (C'est pour un
sondage xD)
Le seul truc que je trouve stupide, pour dire franc, est le coup de la feuille au fer rouge dans la main des membres de l’Amarante. Et ils sont censé passer inaperçu comment ?
Sinon design super. Et le background est sympa.
Comment avez-vous connu le forum? Disons que j’ai de bonnes connaissances ici
